Avec une aide de plus de 200 euros provenant de l’Etat, les français vont pouvoir bénéficier de cette subvention lors de l’achat ou de la location longue durée de certains deux-roues. Les français vont ainsi pouvoir acquérir leur vélo à assistance électrique pour moins cher jusqu’en Janvier 2018.
Une subvention importante pour le développement durable
La subvention proposée est accordée lors de l’acquisition de cycles assistés qui n’utilisent pas de batterie au plomb. Ils sont aussi utilisés pour l’acquisition ou la location de véhicules motorisés à plusieurs roues. C’est ainsi en présentant sa facture d’achat à l’Agence de Services et de Paiements que l’acheteur pourra se faire rembourser la somme par virement sur son compte bancaire. Un site internet est ainsi en cours de montage et permettra à toutes les personnes qui le souhaitent de se faire rembourser facilement et rapidement.
Des aides complémentaires pour l’acquisition d’un vélo à assistance électrique
En plus de l’aide au niveau national, certaines villes françaises proposent des aides complémentaires afin de soutenir l’achat de ce type de véhicules. Un bon exemple est celui d’Agglopolys, la communauté d’agglomération de Blois. Depuis de 7 années, les élus locaux ont décidé d’apporter une aide non négligeable de plus de 400 euros pour les véhicules à deux roues électriques. Il est bon de noter que cela a fait tout simplement exploser les ventes en France. Les statistiques ont montré que plus de 100.000 vélos à assistance électrique se sont vendus l’année dernière.
Il faut espérer qu’une telle augmentation des ventes va entraîner une baisse des tarifs. Aujourd’hui, à titre d’illustration, le prix moyen d’une bicyclette électrique est de 1060 euros environ. Mais pour un cyclotourisme écologique, un vélo électrique, ça n’a pas de prix. L’objectif du gouvernement français étant de démocratiser ce moyen de locomotion, d’autres mesures vont très certainement voir le jour comme l’indemnité kilométrique ou encore certaines mesures visant à favoriser le covoiturage. Certaines entreprises dédommagent ainsi les salariés utilisant régulièrement le covoiturage.